PIPAIX & GALLAIX - Paroisse de Leuze-en-Hainaut

UNITE PASTORALE DE LEUZE-EN-HAINAUT
Unité pastorale refondée
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Pipaix & Gallaix
Sainte-Vierge

Personne-relais : M. Gabriel VANRENTERGHEM

Sacristain Corentin Debliquy

Messes dominicales:

Le samedi qui précède le 3ème dimanche du mois à 17h00 en l’église de Pipaix




Fabrique d’église


Joël  Peeters
Président

Martine Henry
Secrétaire

Arnaud Hautem
Trésorier

Jean-Marie Degouys
Membre effectif
Gabriel Vanrenterghem
Membre effectif

+ deux membres de droit : M. le Bourgmestre (ou son Délégué) et M. le Curé
Le tabernacle de l’église de Pipaix fut offert par Amédée Dubuisson pour remercier la Vierge Marie.
La tête transpercée de l’oreille gauche à l’oreille droite par une balle allemande, le soldat Amédée Dubuisson, fut laissé pour mort sur le champ de bataille, le 4 septembre 1914.
Ramassé par des brancardiers, plongé dans le coma, complètement défiguré, il est soigné et se trouve hors de danger mais sourd.
Fin octobre 1914, ses blessures sont considérées comme guéries.
Guérison surprenante qu’Amédée Dubuisson a attribué à Marie !

Clocher de   Pipaix-Gallaix
  
Avant sa désaffectation, l’église de Gallaix était   dédicacée à la Sainte Croix. Nous avons pensé qu’il serait heureux de   célébrer cette dédicace en l’église de Pipaix, une façon de dire aux fidèles   de Gallaix qu’ils ne sont pas oubliés…           
        
Exaltation de la sainte Croix -
Fête de la Croix glorieuse

llustration   : Croix glorieuse, Basilique Saint Apollinaire, Ravenne
  
Quand, à Jérusalem, la reine sainte Hélène, mère de l'empereur Constantin, fut convaincue d'avoir retrouvé sur le Mont   Calvaire la vraie croix du Christ, elle fit édifier en ce lieu, avec l'aide   de son fils, une basilique englobant le Calvaire et le Saint Sépulcre. Cette   basilique qui eut pour nom "Résurrection" fut consacrée un 14 septembre.   Vénération de la Sainte-Croix. Par la suite, ce jour fut choisi pour célébrer   une fête qu'on appela "Exaltation de la précieuse et vivifiante Croix" parce que son rite principal consistait en une ostension solennelle d'une relique de la vraie croix. Ce geste manifestait devant tous que la Croix est glorieuse parce qu'en elle la mort est vaincue par la vie. La fête se répandit à Constantinople où elle connut un éclat nouveau à partir du VIIe siècle parce que les Perses infidèles s'étaient emparés de Jérusalem et avaient emporté dans leur pays la vraie Croix comme trophée de victoire. L'empereur Heraclius alla la reprendre et ramena triomphalement à Constantinople le symbole de la victoire du Christ sur la mort. Progressivement la fête fut célébrée dans toute l'Église et des parcelles de cette relique furent distribuées à travers le monde chrétien. ( : Nominis)
 
Dans la liturgie actuelle, la fête de la Croix glorieuse se situe au terme d’un parcours spirituel de quarante jours commencé le 6 août à la fête de la Transfiguration. La liturgie offre ainsi comme un « carême d’été » qui permet un cheminement au cours duquel les chrétiens sont appelés à progresser pour entrer dans la sagesse de Dieu. Ces quarante jours, vécus à partir de la Transfiguration du Seigneur, sont l’occasion d’approfondir un aspect essentiel du mystère chrétien. ( : liturgie.catholique.fr)
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